Maskbook

Maskbook est un projet international, participatif et artistique pour l'envionnement de l’association Art of Change 21, qui place au coeur de son processus l'économie circulaire.

Détails du projet

  • Structure porteuse : Alice Audouin
  • Nature du projet :
  • Périmètre : France et Monde entier
  • Localisation : 50, rue des Francs Bourgeois 75003 Paris
  • Date de début : juin 2015

Piliers de l‘économie circulaire

  • Consommation responsable
  • Recyclage
  • Allongement de la durée d'usage
  • Economie de fonctionnalité
  • Ecologie industrielle et territoriale
  • Eco-conception
  • Approvisionnement durable
Description

Maskbook est un projet international, participatif et artistique de l’association Art of Change 21, qui place au coeur de son processus l'économie circulaire, via la création de masques DIY et recup'. 

Lancé en 2015 à l’occasion de la COP21, Maskbook vise à sensibiliser le grand public à la pollution de l’air et au réchauffement climatique. Il utilise le masque anti-pollution comme symbole, moyen d’action et support de création. Avec Maskbook, l’image potentiellement anxiogène du masque anti-pollution est renversée pour devenir une expression d’optimisme et d’engagement.

Maskbook est une véritable œuvre d’art collective et engagée,constituée de portraits masqués du monde entier. La galerie en ligne de portraits masqués sur Maskbook.org, compte déjà des milliers de portraits masqués de participants venant de plus de 40 pays à travers le monde. Chaque masque est une création personnelle, faites à partir de récup’ ou de manière digitale, et une démonstration des vertus du upcycling et de l'économie circulaire. 

Œuvre-action collective, Maskbook agit à la fois hors ligne et en ligne, et dans le monde via un programme international d’ateliers et d’expositions ainsi qu’avec une application mobile.

Le site www.maskbook.org est disponible en trois langues, français, anglais et chinois. 

Les ateliers Maskbook rassemblent des milliers de participants dans le monde. Près de 100 ateliers ont été organisés dans plus de 20 pays à travers le monde, en Equateur, Corée du Sud, Chine, Kenya, Allemagne, Inde, Belgique, France …

L’atelier Maskbook est une occasion d’abord de pratiquer de première main l’économie circulaire, mais aussi, plus globalement, de prendre un premier pas d’action pour l’environnement, via la créativité engagée.

80% des participants à un atelier Maskbook affirment avoir été plus optimistes sur la capacité des citoyens à résoudre la crise environnementale. 70% des répondants ont déclaré que Maskbook avait influencé leur comportement en faveur de l'environnement et favorisé, d’une manière ou d’une autre, un « écogeste ».

Maskbook est un projet universel, inclusif et accessible à tous. Le masque existe dans tous les continents et résonne dans toutes les cultures : de Paris au bidonville de Kangemi à Nairobi, des bateaux nomades des Badjaos à Bornéo aux habitants deShanghai, en passant par des jeunes Népalais à Pokhara, chaque expérience Maskbook mobilise le plaisir de créer et le besoin de s’exprimer que chaque être humain porte en lui.

Maskbook s’appuie sur un réseau mondial de partenaires dans le domaine de l’environnement, de l’éducation, de l’art, et du réseauMasktivist, constitué de tous ceux qui organisent des ateliers Maskbook dans le monde, en suivant la charte Maskbook.

Mask-Trotter, le nouveau volet plus mobile et individuelle de Maskbook, lancé en 2017, se déploie pleinement en 2018. Mask-Trotter est un moyen de rendre la participation au Maskbook encore plus nomade, inclusif et à l’échelle humaine : les globe-trotters, au gré de leurs rencontres dans les régions les plus éloignées, proposent des ateliers individuels aux personnes locales, favorisant un dialogue interculturel sur le réchauffement climatique. Mask-trotter ambitionne également à développer des nombreuses collaborations avec les peuples premiers, et collabore déjà avec le célèbre photographe Pierre de Vallombreuse, parrain de Mask-trotter.

Soutenu depuis 2016 par l’ONU Environnement (Programme des Nations Unies pour l'Environnement) et depuis 2015 par laFondation Schneider Electric, Maskbook a été labellisé COP21 et COP22 et est parrainé par le Ministère français de la Culture. 

Le projet Maskbook est né lors du Conclave d’Art of Change 21, une rencontre internationale de co-création qui a eu lieu à la Gaîté Lyrique à Paris en 2014, en amont de la COP21.

Ce Conclave, organisé par Art of Change 21, a réuni des personnalités du monde entier, des artistes, des entrepreneurs sociaux et des jeunes engagés.

L’artiste et photographe chinoise Wen Fang, invitée de ce Conclave d’Art of Change 21 et personnellement concernée par la pollution de l'air à Pékin, a eu l'idée de cette action, non sans humour : « en Chine, comme nous portons tous des masques contre la pollution, Facebook devrait s’appeler Maskbook ! »

Wen Fang joue aujourd’hui un rôle central dans le projet. Elle anime régulièrement des ateliers Maskbook en Asie.

Coûts de l'initiative

300000 €

Résultats qualitatifs et chiffres clés

Près de 100 ateliers ont été organisés dans plus de 20 pays à travers le monde, en Equateur, Corée du Sud, Chine, Kenya, Allemagne, Inde, Belgique, France …

Des milliers de participants ont créé leur masque de leurs propres mains et mis en oeuvre l'économie circulaire via la recup', le upcycling le DIY...

Plus d'une dizaine d'expositions dans le monde ont été organisées. 

L'objectif de Maskbook est de : 

  • faire pratiquer l'économe circulaire,
  • utiliser les talents de chacun,
  • sensibiliser sur les liens entre pollution santé et climat, 
  • déclencher la confiance, en agissant de ses mains,

chacun reprend confiance en sa capacité à influer le monde et à être "acteur du changement"

80% des participants à un atelier Maskbook affirment avoir été plus optimistes sur la capacité des citoyens à résoudre la crise environnementale. 70% des répondants ont déclaré que Maskbook avait influencé leur comportement en faveur de l'environnement et favorisé, d’une manière ou d’une autre, un « écogeste ».

Actuellement, Maskbook mène une campagne autour d'un tutoriel, destiné à tous les pays anglophones, qui explique où et comment trouver des déchets pour créer des masques, comment exprimer sa créativité avec des déchets et les transformer en oeuvre d'art. 

D'autres langues vont suivre, l'espagnol, le chinois...

Lancé en 2015 par notre association Art of Change 21 dans la perspective de la COP21, Maskbook rencontre depuis trois ans un succès mondial, avec déjà près de 100 événements dans près de 20 pays, et des milliers de participants. 


Maskbook a pour ambition d’aller plus loin et de devenir la plus grande mobilisation artistique, collective et écologique mondiale. 

Des millions de Chinois et d'Indiens portent déjà des masques antipollution au quotidien. Si nous ne faisons rien, demain, nous en porterons tous ! 


Et si pour agir contre la pollution et le réchauffement climatique, nous utilisions le talent de nos mains et la richesse de nos déchets ? 

Notre projet Maskbook transforme le masque antipollution en moyen d’expression. Il renverse l'image négative du masque anti-pollution pour en faire un support de solutions.

Ateliers de créations de masques, expositions, interventions artistiques, bal masqués, application mobile, projet Masktrotter, Maskbook offre de nombreuses moyens de participer, dans le monde entier.

Grâce à son succès, notre projet n’a pas manqué d’être remarqué et soutenu un an après sa création par l’ONU Environnement, partenaire institutionnel de Maskbook !

Après la Chine, le Kenya, l’Equateur, la Corée du Sud, le Maroc…Maskbook organise en 2018 des ateliers en Inde, au Ghana, en Pologne, en Ecosse…autant de pays concernés par les enjeux environnementaux actuels. Maskbook y collabore toujours avec des partenaires locaux.

Historique et perspectives du projet

Les étapes :

1- CONCEPTION DU PROJET LORS DU CONCLAVE 

2 - PREMIER ATELIER MASKBOOK 

3 - CREATION DU SITE INTERNET

4 - RECRUTEMENT DUNE EQUIPE INTERNATIONALE

5 - EXPOSITION AU GRAND PALAIS ET PERFORMANCE DE L'ARTISTE WEN FANG

6 - DIFFUSION INTERNATIONALE

7- TEST DE MASKTROTTER

8 - DIFFUSION DU TUTORIEL

Le frein le plus important est le difficulté pour les acteurs de l'environnement à considérer la culture, la créativité comme un moyen SERIEUX et EFFICACE d'agir. les freins sont, comme souvent relatifs aux mentalités. 

Mais les participants aux, ne s'y trompent pas, tous les ateliers sont des succès et tous les retours et bilans attestent que ce projet contribue fortement à la prise de conscience vis-à-vis des déchets, de la pollution, du climat de la santé. 

Domaines d’activités

  • Energie
  • Santé
  • Recyclage
  • Information
  • Culture
Mise en oeuvre

Partenaires

  • ONU Environnement (UNEP), CLIMATE AND CLEAN AIR COALITION; AMBASSADE DE FRANCE EN CHINE, RMN GRAND PALAIS, MAIF, SWECHHA (inde)...

Moyens techniques et méthodologies

Les partenaires contribuent à la réalisation du projetOrganisation d'événements

Moyens humains

L'association Indienne Swechha, d'envergure national, a par exemple mis à disposition ses équipes pour l'organisation de nos ateliers en Inde

L'Ambassade de France en Chine a mis a disposition tout l'Institut pour une exposition Maskbook et a invité Maskbook a faire trois jours d'ateliers dans le cadre de la Beijing Design Week 

Nous avons bien d'autres exemples...

Financeurs

  • ONU ENVIRONNEMENT, FONDATION SCHNEIDER ELECTRIC, ADEME, MAIF....
  • Notre partenaire principal est la Fondation Schneider Electric, qui nous finance depuis 2015.
    Notre partenaire institutionnel principal est l'ONU Environnement qui nous finance depuis 2016.
    Mais nous avons aussi d'autres soutiens financiers, en 2017 MAI

Financement

Nous consacrons environ 50 000 euros par an à Maskbook depuis 2015, soit déjà 150 000 euros de dépensé, et prévoyons cette somme sur une durée d'encore trois ans au minimum.
Documents

Lien(s) web

 www.maskbook.org

Documents

  • présentation maskbook
  • Vous avez ici une présentation de Maskbook.

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Auteur de la page

Alice Audouin

Modérateur

Tariq Rami

Chargé d'étude